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50 millions d’économies d'impôts pour les familles

 La politique fiscale doit cesser pénaliser les familles et la classe moyenne par des impôts et des charges sociales excessives. Or depuis quelques années, la classe moyenne paye, à Genève, le prix fort. Le système fiscal genevois favorise le déséquilibre croissant entre le cercle des bénéficiaires des prestations de l’Etat et les contribuables, mettant ainsi en danger la cohésion sociale.

L’idée est de proposer des réductions d’impôts jusqu’à concurrence de 50 millions de francs dès 2010, soit dès le retour à l’équilibre des finances cantonales.

Dans cette optique, il s'agit donc d’alléger la fiscalité des familles et de la classe moyenne de façon ciblée, en choisissant des mesures ciblées:
a)       suppression de l’imposition des allocations familiales : parce que l’on ne peut prendre d’une main ce que l’on donne de l’autre, le PDC Genève soutient la proposition du parti national et défendra cette idée à Genève. Cette mesure constituerait un allègement significatif pour les familles (aussi bien celle à un qu’à deux revenus) et entraînerait une perte de recette fiscale supportable pour l’Etat.
b)       Déduction fiscale pour les enfants qui s’occupent de leurs parents âgés au lieu de les mettre en EMS : Actuellement, les enfants qui choisissent de s’occuper de leurs parents (souvent grâce à une aide à domicile) ne bénéficient pas de possibilités de déduction fiscale.
c)       Déduction des pensions alimentaires en faveur d’enfants majeurs : Après la majorité, si l'enfant n'a pas terminé sa formation, les parents doivent continuer à subvenir à son entretien jusqu'à la fin de celle-ci. Le versement d’une pension alimentaire ne cesse donc pas toujours avec la majorité de l’enfant. Mais ces pensions ne sont pas déductibles une fois que l’enfant a atteint sa majorité. Une situation qui entraine trop souvent le non paiement des pensions par l’ex-conjoint.
d)       Remise de commerces : dorénavant, avec la LHID (loi fédérale sur l’harmonisation des impôts directs des cantons et des communes), le bénéfice d’une remise de commerce fait partie du revenu normal. Or pour beaucoup de commerçants et d’artisans, la remise de leur commerce constitue une sorte de capital retraite. Ils sont donc inutilement pénalisés par la LHID.
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