Pour une nouvelle gouvernance de la région
J’ai le plaisir d’ouvrir les Premières assises transfrontalières franco-valdo-genevoises et, au nom du Grand Conseil de la République et canton de Genève, vous souhaite la bienvenue.
Avant toute chose, j’aimerais remercier les deux coprésidents de ces assises, M. Etienne Blanc, député, maire de Divonne et président du Syndicat mixte de l’ARC qui rassemble les élus français des territoires limitrophes de Genève, et M. Laurent Chappuis, président du Grand Conseil du canton de Vaud, sans le soutien desquels cette assemblée n’aurait pu avoir lieu.
Le 7 décembre dernier, peu après le vote favorable des Genevois pour le CEVA et à l’occasion de la prestation de serment du Conseil d’Etat, nous avions en effet souhaité élaborer un nouveau projet de gouvernance pour la région franco-valdo-genevoise en construction. Cette région, on le sait, c’est 800 000 habitants et une centaine de communes de part et d’autre des frontières genevoises, et c’est deux cantons, deux départements et deux pays.